Je rêve ou c'est bien toi
Qui vient vers nous, Noël
Malgré les tsunamis
Et toute une ribambelle
De guerres et d'affamés
Pour annoncer la paix
La vraie fraternité
L'amour et l'amitié?
Et bien, mon vieux Noël
Il faut vraiment la foi
Pour croire en ces merveilles
Et en cette humanité
En qui je ne crois plus!
Mais le petit Jesus
Si tendre et si fragile
M'émeut de plus en plus.
Je sens qu'encore une fois
Avec un coeur d'enfant
Je lui ouvrirai mes bras
La vie en remerciant!
On en parle, on en parle et bien, elle arrive la collecte du 4 juillet! Vous n'êtes pas encore partis en vacances? Vous allez peut les passer à escalader des montagnes ou les dunes d'un désert? Peut être à affronter les dangereuses surprises des forêts tropicales? Dans tous ces lieux vous n'aurez ni collecte mobile ni centre fixe où donner votre précieux sang. Venez, courez, précipitez- vous donc à notre collecte du mercredi 4 juillet
de 9h30 à 13h de 14h30 à 19h Salle du Temps Libre rue Jules Ferry devant l'église à LEGUEVIN!!
C'est bien parce que beaucoup d'entre vous ne pourront donner pendant les vacances (vacances bien méritées, entendons-nous!), que les sacrosaints stocks risquent de baisser et les malades d'en faire les frais. Les bénévoles de l'Amicales vous attendent avec impatience et beaucoup d'amitié, avant de prendre eux mêmes un peu de repos et de bon temps! A bientôt! Hasta pronto! Bis bald! A presto! See you soon! etc! etc!
Monique en action publicitaire à SuperU
Yvette et Caterina recto-verso! Mais Overblog ne veut pas montrer ce qu'on lui demande! Et on ne fait la pub que pour le don du sang!
L'automne s'installe en douceur. Une légère écharpe de brume flotte au dessus des champs.
Nous attendons le train et nous voici installés dans une joyeuse pagaille.
Debout Jacques! si tu veux être sur la photo.
Il s'exécute et...faillit s'assommer sur le plafond.
Aurelio et compagnie nous rejoignent à la gare de L'Isle ainsi que l'ami Pierre qui, à Brax, a raté le train et a fait la course avec lui pour nous rattraper avant que, à 18, nous nous élancions (faut pas exagérer!) vers le Grangé. Mais, avant, Sophie contrôle que son beau ballon de six mois est toujours bien en place!
On y arrive juste pour déguster l'apéro et, divine surprise, les non "alcooliques" n'ont pas été oubliés! Joyeux "intermezzo"! Un petit fantassin, casqué d'un parallélépipède en carton avec fente pour les yeux, protégé d'un énorme couvercle de poubelle en guise de bouclier et armé d'une redoutable épée en bois, s'élance à l'assaut des envahisseurs! C'est le grand frère de Joséphine, qui assiste admirative à la scène et qui nous réjouira d'un numéro de strip-
tease en toute innocence pendant le repas.
La soupe de Lily est un régal! Jean Claude nous fait la démonstration de sa satisfaction à la demande de l'assemblée. D'autres en font autant, mais ils n'ont pas été photographiés!
Lily, Andreas, petit guerrier et Joséphine, quel accueil! Les pèlerins vous quittent sûrement enchantés se répandant en louanges tout le long du Camino!!
Hier nous devions venir chez-vous, accueillis comme d’habitude avec tant de genillesse et de naturel, deux qualités qui, chez-vous, allaient de soi. Et bien , non ! Changement de programme ! Aujourd’hui nous voilà tous à l’église pour vous rendre hommage avant de vous accompagner au cimetière tout prochepour votre dernier voyage en ce bas monde dont vous étiez pourtant un petit rayon de soleil.
Et je ne peux m’empêcher de penser à quand , avec mon impertinance chronique mais affectueuse, je vous disais « Mimi, vous, on devrait vous empailler de votre vivant, car vous êtes unique ! » Vous, pas du tout offusquée, vous avec tant d’humour car si intelligente, vous riiez. Et aussi à quand vous nous demandiez une prière, une « toute petite » bien sûr, avant de subir de lourdes opérations, toujours avec mon impertinance incurable, je vous assurais que tout le monde, même celles et ceux qui avaient oubliéles paroles du Pater Noster, se mettraient en prière. Et je ne manquais pas d’ajouter« vous n’avez pas le droit de mourir, Mimi, vous en laisseriez d’orphélins à Léguevin » !
Aujourd’hui, où vous êtes sûrement à votre place, « la toute petite place », qui convient à votre modestie, à côté de la Vierge Marie que vous vénériez tant, moi, Mimi, je me sens orphéline.